mercredi 5 septembre 2012

Le cauchemar continue ! εφιάλτης συνεχίζεται!





Moins d’un quart des allemands souhaitent que la Grèce reste dans la zone euro. Ce sondage publié dans le Financial Times montre que 54% des allemands sont contre le maintien de la Grèce dans la zone euro, contre 21% des italiens et 27% des espagnols. L’opinion publique allemande juge que la Grèce n’est pas capable de se réformer.

Quel est donc ce sentiment anti-grec qui perdure en Allemagne. Les allemands n’ont de cesse de porter l’estocade à la Grèce. Cette corrida perdure et n’en finit pas. Jusqu’à quand cette rancœur allemande contre la Grèce durera ?

Jour après jour, mois après mois, année après année, les loups hurlent à la mort de la Grèce. Et qu’en espèrent-ils ?

Est-ce vraiment ce désir de mettre la Grèce en coupe réglée, de l’occuper, de soumettre les grecs à un diktat berlinois.
Mais qui veut la mort du peuple grec et la destruction de l’Acropole ?
ET POURQUOI ?

Je m’étonne, car mois après mois, je constate cette constante à attaquer par tous les fronts la Grèce. Je suis écoeuré par tout ce qui peut se lire contre la Grèce. Il ne s’élève aucune voix pour demander que tout cela cesse, qu’on laisse le peuple grec vivre et sortir de ce marasme sans lui rappeler jour après jour qu’il est le pire peuple d’Europe, le peuple coupable, le peuple fainéant, le peuple voleur, le peuple sans foi ni loi, le peuple escroc, le peuple mis au banc de la société européenne.
Va-t-on laisser continuer un tel crime ?

J’ose dire crime car pour moi il s’agit d’une forme d’eugénisme économique. Qui dans le monde tenterait cette expérience folle de prendre un pays, pas très puissant économiquement, avec un état plutôt faible et une classe politique aléatoire. Qui plus est, un pays à l’image controversée. Un pays où l’on aime passer les vacances, mais dont on possède encore beaucoup de préjugés.
C’est ainsi qu’on lance l’expérience.

Une attaque programmée afin d’affaiblir le pays financièrement, donc économiquement, en déstabilisant la classe politique, avec une campagne de désinformation que l’on cristalliserait dans un pays puissant en montrant à ce peuple pensant être fort, qu’un autre peuple voisin risque de l’amener à la ruine.
Souvenez- vous du film Trading Places avec Eddie Murphy et Dan Aykroyd. Deux vieux banquiers se lancent un pari fou. Faire d’un combinard un homme puissant et d’un jeune directeur d’investissement, un clochard.

Ce qui arrive à la Grèce, est, à mon avis du même tonneau. Un groupe influent dans le monde a décidé d’une expérience grandeur nature pour voir jusqu’à quel point peut tenir un peuple sans avenir et dont le pays s’écroule, sans garantie de survie. On fabrique une campagne pour le décrédibiliser, fabriquant des tares à ce peuple. Cette campagne s’adresse au peuple qui a le plus peur de subir pour la troisième fois dans un siècle une nouvelle faillite.

Ainsi un peuple s’oppose à un autre, parce qu’il a peur. C’est le cas des allemands. Les allemands ont plus peurs que tous les peuples d’Europe d’une nouvelle faillite chez eux. Donc il leur faut un coupable, on leur trouve un coupable, les grecs.
Et l’expérience continue, plus le temps passe, plus la Grèce tombe en ruine, s’écroule. Et ce groupe influent veut aller plus loin dans l’eugénisme économique, toujours plus loin. Si la Grèce demande un délai, on ne donne pas de délais, mieux on commence à faire tomber d’autres pays voisins, Espagne, Portugal, Italie. Mais on porte la culpabilité au même pays, la Grèce. L’attaque est financière, économique, politique, puis psychologique, on la rendra même psychanalytique, car on finira par s’attaquer et tenter de détruire l’âme grecque.

Je ne crois pas avoir tort, je ne sais pas si j’ai raison, mais je sais que je ne suis pas très loin de la vérité.

A tous mes sœurs et frères grecs.

Quand ils ont attaqué la Grèce, nous n’avons pas bougé, puis la Grèce est morte.
Quand ils ont attaqué l’Espagne, nous n’avons pas bougé, puis l’Espagne est morte.
Quand ils ont attaqué le Portugal, nous n’avons pas bougé, et le Portugal est mort.
Quand ils ont attaqué l’Italie, nous n’avons pas bougé, et l’Italie est morte.
Aujourd’hui, ils occupent la Grèce, l’Espagne, le Portugal et l’Italie.
Aujourd’hui ils nous attaquent, mais aujourd’hui, c’est trop tard.

Vive la Grèce !




The nightmare continues!

Less than a quarter of Germans want Greece remains in the eurozone. This poll published in the Financial Times shows that 54% of Germans are against keeping Greece in the euro area, against 21% of Italians and 27% of Spaniards. German public opinion considers that Greece is not capable of reform.

What is this anti-Greek sentiment that persists in Germany. The Germans have consistently bring the final blow to Greece. This bull continues and never ends. So when the German resentment against Greece last?

Day after day, month after month, year after year, wolves howl at the death of Greece. And what do they expect?

Is this really desire to Greece fleeced, occupy, to submit a diktat to Greek Berlin.
But who wants the death of the Greek people and the destruction of the Acropolis?
AND WHY?

I am surprised because month after month, I see this constant attack from all fronts Greece. I am sickened by all that can be read against Greece. There stands no voice to ask that all the time, to let the Greek people live and out of this mess without reminding him that every day is the worst people in Europe, the guilty people, the lazy people, thief people, lawless people, the crook people, the people put on the bench of the European society.
Will we continue to let such a crime?

I dare say crime because for me it is a form of eugenics economy. Who in the world would try to take this crazy experience for a country, not very powerful economically, with a rather low state and a political class randomly. Moreover, a country's controversial image. A country where people like to spend the holidays, but it still has a lot of prejudice.
This is how we start the experiment.
A planned attack in order to weaken the country financially, so economically destabilizing the political class, with a disinformation campaign that we crystallize into a powerful country by showing that thinking people to be strong, another neighboring people risk to bring them to ruin.
Remember the movie Trading Places with Eddie Murphy and Dan Aykroyd. Two old bankers throw a crazy bet. Make a schemer a powerful man and a young investment manager, a bum.

What happens in Greece, is in my opinion the same barrel. An influential group in the world has decided to experience scale to see how far people can hold a future without which the country is falling apart, with no guarantee of survival. It manufactures a campaign to discredit, manufacturing defects to the people. This campaign is aimed at people who are most afraid of suffering for the third time in a century, a new bankruptcy.
And a people against another, because he is afraid. This is the case of Germany. The Germans have more fears that all the peoples of Europe a new bankruptcy home. So they need a guilty, they are guilty, the Greeks.
And the experience continues, the more time passes, Greece is crumbling, falling apart. And this influential group wants to go further in the economic eugenics still further. If Greece requests a delay, it does not delay, the more we begin to break down other neighboring countries, SpainPortugalItaly. But carries the guilt of the same country, Greece. The attack is the financial, economic, political, and psychological, will be the same psychoanalytic, because it will eventually attack and attempt to destroy the Greek soul.

I do not think wrong, I do not know if I'm right, but I know I'm not very far from the truth.

To all my brothers and sisters Greek.

When they attacked Greece, we have not moved, then Greece is dead.
When they attacked Spain, we have not moved, then Spain is dead.
When they attacked Portugal, we have not moved, and Portugal is dead.
When they attacked Italy, we did not move, and Italy is dead.
Today, they occupy GreeceSpainPortugal and Italy.
Today they attack us, but now it's too late.

Long live Greece!




Translation by Lazaros Mavromatidis


Ο εφιάλτης συνεχίζεται!

Λιγότερο από το ένα τέταρτο των Γερμανών θέλουν η Ελλάδα να παραμείνει στην ευρωζώνη. Αυτή η δημοσκόπηση που δημοσιεύθηκε στην εφημερίδα Financial Times δείχνει ότι το 54% των Γερμανών τάσσονται  κατά της διατήρησης της Ελλάδας στη ζώνη του ευρώ, έναντι του 21% των Ιταλών και του 27% των Ισπανών. Η Γερμανική κοινή γνώμη θεωρεί ότι η Ελλάδα δεν είναι σε θέση να προβεί σε μεταρρυθμίσεις.

Τι είναι αυτό το αντι-Ελληνικό συναίσθημα που επιμένει να εκφράζεται στη Γερμανία; Οι Γερμανοί προχωρούν με συνέπεια στο τελικό τους χτύπημα κατά της Ελλάδας. Αυτή η ταυρομαχία συνεχίζεται και δεν τελειώνει ποτέ. 
Μέρα με τη μέρα, μήνα  με το μήνα, χρόνο με το χρόνο, οι λύκοι ουρλιάζουν για το θάνατο της Ελλάδας. Και τι περιμένουν;
Είναι πραγματικά όμωςτόσο μεγάλη η επιθυμία του Βερολίνου να μαδήσει την Ελλάδα, και για αυτό προβαίνει σε συνεχείς διαταγές και υποδείξεις.
Αλλά ποιος θέλει το θάνατο του ελληνικού λαού και την καταστροφή της Ακρόπολης;
ΚΑΙ ΓΙΑΤΙ;
Είμαι έκπληκτος επειδή μήνα με το μήνα, βλέπω ότι αυτή η συνεχής επίθεση από όλα τα μέτωπα κατά της Ελλάδας εντείνεται. Είμαι αηδιασμένος από όλα αυτά που μπορούν να διαβαστούν κατά της Ελλάδας. Δεν αφήνουν σε ησυχία τον ελληνικό λαό, χωρίς να του υπενθυμίζουν κάθε μέρα ότι είναι ο χειρότερος λαός στην Ευρώπη, ένοχοι, τεμπέληδες, κλέφτες, απατεώνες, και απόκληροι της ευρωπαϊκής κοινωνίας.
Θα συνεχίσουμε να αφήνουμε ένα τέτοιο έγκλημα να συμβαίνει;

Τολμώ να πω έγκλημα, διότι για μένα είναι μια μορφή οικονομικής γενοκτονίας. Ποιος στον κόσμο θα προσπαθήσει να εκμεταλλευτεί αυτή την κακή κατάσταση μια χώρας, που δεν είναι πολύ ισχυρή οικονομικά, ενώ παράλληλα είναι πολιτικά ασταθής. Επιπλέον, η εικόνα της χώρας είναι αμφιλεγόμενη.
Έτσι λοιπόν το πείραμα εξελίσσεται.
Πρόκειται για προγραμματισμένη επίθεση για να αποδυναμώνεται η χώρα οικονομικά, έτσι αποσταθεροποιείται οικονομικά η πολιτική τάξη, και σε συνδυασμό με μια εκστρατεία παραπληροφόρησης που εντείνεται σε μια ισχυρή χώρα, ώστε οι άνθρωποι να πιστεύουν ότι οι δικές τους χώρες είναι ισχυρότερες από τη χώρα που δυσφημείται.
Θυμηθείτε την ταινία Trading Places με τον Eddie Murphy και τον Dan Aykroyd. Δύο παλιοί τραπεζίτες έχουν βάλει ένα τρελό στοίχημα.
Αυτό λοιπόν που συμβαίνει στην Ελλάδα, είναι κατά τη γνώμη μου, το ίδιο ακριβώς. Μια ομάδα με επιρροή στον κόσμο, αποφάσισε να πειραματιστεί με το σε ποιο βαθμό οι άνθρωποι μπορούν να επιβιώσουν στο μέλλον σε μια χώρα που καταρρέει. Κατασκευάζουν μια εκστρατεία για να δυσφημίσουν τα κατασκευαστικά ελαττώματα των ανθρώπων. Η εκστρατεία αυτή απευθύνεται σε ανθρώπους που είναι οι πιο φοβισμένοι και αντιμετωπίζουν για Τρίτη φορά μέσα σε έναν αιώνα, το ενδεχόμενο της πτώχευσης.
Και ο ένας λαός στρέφεται εναντίον του άλλου, γιατί φοβάται. Αυτή είναι η περίπτωση της Γερμανίας. Οι Γερμανοί έχουν περισσότερους φόβους από ότι όλοι οι λαοί της Ευρώπης για μια ενδεχόμενη πτώχευση. Έτσι, χρειάζονται έναν ένοχο, και ένοχοι πλέον είναι οι Έλληνες.
Και το πείραμα συνεχίζεται, ώστε με το πέρασμα του χρόνου, η Ελλάδα να καταρρέει και καταρρέει. Και αυτή η ομάδα επιρροής θέλει να προχωρήσει περισσότερο στην οικονομική γενοκτονία. Αν η Ελλάδα καθυστερήσει να καταστραφεί τότε η Ισπανία, η Πορτογαλία και η Ιταλία την αντικαθιστούν και το πείραμα συνεχίζεται. Η επίθεση είναι η χρηματοπιστωτική, οικονομική, πολιτική και ψυχολογική εξόντωση γιατί τελικά επιτίθενται και προσπαθούν να καταστρέψουν την ελληνική ψυχή.
 Δεν ξέρω αν κάνω λάθος, δεν ξέρω αν έχω δίκιο, αλλά ξέρω ότι δεν είμαι πολύ μακριά από την αλήθεια.
Για όλους τους έλληνες αδελφούς και αδελφές μου.
Όταν επιτέθηκαν στην Ελλάδα, δεν αντιδράσαμε, και τώρα η Ελλάδα αντιμετωπίζει το θάνατο.
Όταν επιτέθηκαν στην Ισπανία, δεν αντιδράσαμε, και τώρα η Ισπανία αντιμετωπίζει το θάνατο.
Όταν επιτέθηκαν στην Πορτογαλία, δεν αντιδράσαμε, και τώρα η Πορτογαλία αντιμετωπίζει το θάνατο.
Όταν επιτέθηκαν στην Ιταλία, δεν αντιδράσαμε, και τώρα η Ιταλία αντιμετωπίζει το θάνατο.
Σήμερα, καταλαμβάνουν την Ελλάδα, την Ισπανία, την Πορτογαλία και την Ιταλία.
Σήμερα θα μας επιτεθούν, αλλά τώρα είναι πολύ αργά.
Ζήτω η Ελλάδα!

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